voila un super video sur le recyclage du verre
j'aispere que vous aviez aimez mon video.
lundi 27 avril 2009
Le recyclage du verre
Le recyclage du verre n'est pas récent : des archéologues ont trouvé des traces de son existence qui remonte aussi loin que l'ancienne Égypte ! Plus récemment, on ne recyclait pas vraiment mais les bouteilles étaient consignées. C'est à dire qu'une bouteille coûtant à l'époque 5F était vendue 5F50, soit avec une consigne de 50C. Si vous rapportiez la bouteille, le marchand vous rendait la consigne. Il lavait la bouteille et s'en resservait.
On rejette chaque année des milliards de bouteilles et de bocaux vides. Ils sont en général fabriqués avec du verre allégé. Trop fragiles pour être réutilisés plusieurs fois, ces récipients ne sont pas consignés mais jetés après usage. De plus en plus souvent, on les dépose dans des conteneurs spéciaux. Ils sont collectés et recyclés pour donner un nouveau verre. Les récipients usagés en verre sont apportés à la verrerie. On les mélange à du verre en fusion dans des fours. Les tessons de verre (calcin) fondent à une température plus basse que les matières premières utilisées pour le verre neuf, ce qui demande moins d'énergie. Le réemploi de cent kilogrammes de verre usagé permet d'économiser treize litres de gazole, ou suffisamment d'électricité pour éclairer une pièce pendant un an.
Dans certains pays, l'abondance du verre coloré peut constituer un obstacle au recyclage dans le sens où l'industrie verrière n'en a qu'un usage limité. Par exemple, les pays exportateurs de vin utilisent des quantités énormes de verre de couleur verte, ce qui peut entraîner un surplus de ce type de verre dans les pays importateurs. On essaie donc de faire changer les habitudes traditionnelles des consommateurs en introduisant une plus grande variété de couleur de verre d'emballage. De cette façon, il y aurait moyen de réduire l'importance du facteur couleur dans le développement du recyclage du verre.
Les usines de recyclage: Oiry (Epernay), Cognac, Saint Romain le puy, Chalon sur Saône, Vauxrot, Lagnieu
On rejette chaque année des milliards de bouteilles et de bocaux vides. Ils sont en général fabriqués avec du verre allégé. Trop fragiles pour être réutilisés plusieurs fois, ces récipients ne sont pas consignés mais jetés après usage. De plus en plus souvent, on les dépose dans des conteneurs spéciaux. Ils sont collectés et recyclés pour donner un nouveau verre. Les récipients usagés en verre sont apportés à la verrerie. On les mélange à du verre en fusion dans des fours. Les tessons de verre (calcin) fondent à une température plus basse que les matières premières utilisées pour le verre neuf, ce qui demande moins d'énergie. Le réemploi de cent kilogrammes de verre usagé permet d'économiser treize litres de gazole, ou suffisamment d'électricité pour éclairer une pièce pendant un an.
Dans certains pays, l'abondance du verre coloré peut constituer un obstacle au recyclage dans le sens où l'industrie verrière n'en a qu'un usage limité. Par exemple, les pays exportateurs de vin utilisent des quantités énormes de verre de couleur verte, ce qui peut entraîner un surplus de ce type de verre dans les pays importateurs. On essaie donc de faire changer les habitudes traditionnelles des consommateurs en introduisant une plus grande variété de couleur de verre d'emballage. De cette façon, il y aurait moyen de réduire l'importance du facteur couleur dans le développement du recyclage du verre.
Les usines de recyclage: Oiry (Epernay), Cognac, Saint Romain le puy, Chalon sur Saône, Vauxrot, Lagnieu
Bibliographie:Le recyclage du verre
Consultation: 17 /03 /2009
Le compostage des déchets.
Le compostage est "un procédé biologique Naturel qui s’effectue dans des conditions contrôlées et qui transforme la matière organique en un produit stable ressemblant à de l’humus et appelé compost", mais c’est surtout un mode de recyclage et une pratique traditionnelle qui nécessite peu d’investissements, peut concerner 15 à 20 % des déchets organiques produits par les ménages.
Cette démarche s’inscrit donc dans une gestion intégrée des déchets qui, en combinant les différentes filières de traitement, apporte une solution locale et durable au problème de valorisation des déchets et permet de maîtriser à long terme le coût d’élimination tout en respectant notre environnement.
Aujourd’hui, cette filière de revalorisation organique se développe en France,
Car l’objectif de la politique nationale est d’arriver à revaloriser 20 à 30% des déchets ménagers grâce à ces techniques de traitement.
La directive de Dominique Voynet du 28 avril 1998 fixe au 1er juillet 2002 la mise en décharge des déchets ultimes c’est à dire : "de déchets n’ayant pas subi au minimum une extraction, par collectes séparatives ou par tris des matériaux en vue de leur recyclage, de leur fraction fermentescible ou biodégradable en vue de leur traitement biologique ou de l’épandage agricole, des produits usagés faisant l’objet d’une élimination dédiée (véhicules hors d’usage, huiles de vidange)"
Les directives 75/442/EEC et 91/689/EEC et le règlement n° 259/93 adoptés par l’union européenne qui forment les piliers de la politique du traitement des déchets à l’échelon européen renforcent cette nouvelle approche du problème croissant du traitement des déchets municipaux. Depuis juillet 1996, la communauté européenne a redéfini sa stratégie en matière de traitement des déchets ménagers et insisté sur l’importance des campagnes d’information et de prévention à l’échelle locale.Ces mesures obligent donc aujourd’hui les collectivités territoriales à revoir leur stratégie d’élimination et de gestion des déchets municipaux dans le respect et la protection de notre environnement.
Cette démarche s’inscrit donc dans une gestion intégrée des déchets qui, en combinant les différentes filières de traitement, apporte une solution locale et durable au problème de valorisation des déchets et permet de maîtriser à long terme le coût d’élimination tout en respectant notre environnement.
Aujourd’hui, cette filière de revalorisation organique se développe en France,
Car l’objectif de la politique nationale est d’arriver à revaloriser 20 à 30% des déchets ménagers grâce à ces techniques de traitement.
La directive de Dominique Voynet du 28 avril 1998 fixe au 1er juillet 2002 la mise en décharge des déchets ultimes c’est à dire : "de déchets n’ayant pas subi au minimum une extraction, par collectes séparatives ou par tris des matériaux en vue de leur recyclage, de leur fraction fermentescible ou biodégradable en vue de leur traitement biologique ou de l’épandage agricole, des produits usagés faisant l’objet d’une élimination dédiée (véhicules hors d’usage, huiles de vidange)"
Les directives 75/442/EEC et 91/689/EEC et le règlement n° 259/93 adoptés par l’union européenne qui forment les piliers de la politique du traitement des déchets à l’échelon européen renforcent cette nouvelle approche du problème croissant du traitement des déchets municipaux. Depuis juillet 1996, la communauté européenne a redéfini sa stratégie en matière de traitement des déchets ménagers et insisté sur l’importance des campagnes d’information et de prévention à l’échelle locale.Ces mesures obligent donc aujourd’hui les collectivités territoriales à revoir leur stratégie d’élimination et de gestion des déchets municipaux dans le respect et la protection de notre environnement.
Bibliographie:Le compostage des déchets Consultation: 17 /03 /2009Disponible: http://www.amisdelaterre.org/Compostage-des-dechets-menagers.html
jeudi 2 avril 2009
Pourquoi les énergies renouvelables?
Nous sommes tous appelés à reconsidérer la part des énergies renouvelables dans notre consommation d'énergie; non parce que nous sommes consommateurs ou avides de faire des économies, mais parce que l'exploitation des énergies renouvelables ne se fera pas sans l'accroissement de la production locale des énergies et de leurs diversifications.
Se prononcer en faveur d'une énergie durable relève aujourd'hui d'une suite d'aménagements aisément réalisables par tout citoyen soucieux de respecter son environnement. Ceux-ci sont facilités par des incitations fiscales et des filières professionnelles maintenant bien au fait des préoccupations de chacun.
Pour acquérir les notions de base, préalables à vos résolutions, etapenergie met à votre disposition une documentation couvrant différents aspects du sujet.
Se prononcer en faveur d'une énergie durable relève aujourd'hui d'une suite d'aménagements aisément réalisables par tout citoyen soucieux de respecter son environnement. Ceux-ci sont facilités par des incitations fiscales et des filières professionnelles maintenant bien au fait des préoccupations de chacun.
Pour acquérir les notions de base, préalables à vos résolutions, etapenergie met à votre disposition une documentation couvrant différents aspects du sujet.
L'énergie solaire, la plus prolifique des énergies renouvelables ne doit pas masquer les réussites de la petite éolienne ou de la micro-hydraulique, si l'on veut que la phrase vivre avec son environnement ait un sens.Nous travaillons à ce que le ressort régional parfois local, tisse au moindre coût environnemental les conditions d'épanouissements collectifs et entendons encourager une politique globale responsable, comptable de la cohérence écologique.
Bibliographie: Pourquoi les énergies renouvelables?
Consultation: 18/01/2009
Disponible: http://www.etapenergie.com/
Economisons et recyclons le papier
L’Observateur de Monaco a déjà mis en place depuis le début de l’année de nombreuses actions. Par exemple nous utilisons maintenant uniquement du papier 100% recyclé, et nous optimisons son utilisation en n’imprimant que si c’est vraiment utile, et sur les deux faces. Nous recyclons ce papier grâce à une collecte automatique faite par des agents de la Société monégasque d’assainissement. Les dossiers commerciaux ne sont plus envoyés par voie postale mais par e-mail à nos clients. Également sensible à l’économie d’énergie, les locaux et les ordinateurs sont éteints dès qu’ils ne sont plus utilisés. Afin de réduire notre empreinte écologique et notamment notre rejet de gaz carbonique, nous avons acquis un scooter électrique auprès de la jeune société monégasque Kosmob, scooter utilisé pour tous nos déplacements urbains. Nous faisons aussi appel à un nouvel imprimeur, monégasque, avec un double avantage, social car local, et environnemental car outre le fait que nous économisons des kilomètres de transport, ce fournisseur est labellisé "Imprim’vert", label concernant les déchets et l’utilisation des produits toxiques.
Nous avons également changé de prestataire de nettoyage de nos locaux pour faire appel à une entreprise engagé dans le développement durable. La société ETS SAM, également signataire de la charte sur la Responsabilité Sociétale, utilise des produits à faible impact sur l’environnement, effectue des collectes sélectives et surtout met l’homme en première valeur (Entreprise adhérente du Global Compact, certifiée Iso 9001 : 2000).
Bibliographie: Economisons et recyclons le papier
Consultation: 18/01/2009
Consultation: 18/01/2009
L'incinération des déchets
En Europe, chaque personne produit en moyenne 1 kg d’ordures ménagères par jour (2 fois moins qu’un Américain, mais beaucoup plus qu’un habitant d’un pays en développement !). Si on n’effectue pas de recyclage, environ 70 % de ces déchets sont combustibles (papiers et cartons, déchets putrescibles, textiles, plastiques…). L’incinération des ordures est d’abord un moyen d’en éliminer une bonne partie : 90 % du volume initial part en fumée, ce qui est quand même plus sain que nos immenses décharges d’autrefois ! En France, la mise en décharge directe de déchets valorisables est interdite depuis juillet 2002. Mais l’incinération, c’est aussi le moyen de produire de l’énergie à partir des déchets !Une usine d’incinération comporte un four et une chambre de postcombustion. Dans le four, les déchets subissent une décomposition par la chaleur (pyrolyse) qui produit des gaz combustibles. Ceux-ci sont brûlés à 800-900 °C dans la chambre de postcombustion. Il faut 5 à 7 tonnes de déchets pour obtenir l’équivalent d’une tonne de fioul. Si on effectue du recyclage avant incinération, le pouvoir calorifique des déchets change :- il augmente si on recycle le verre et les métaux (qui ne brûlent pas) ou les déchets fermentescibles humides (par exemple les déchets de cuisine) ; - il diminue si on recycle le papier et les cartons.L’énergie est récupérée à la sortie du four, dans les fumées, grâce à un échangeur de chaleur dans lequel circule de l’eau ou de la vapeur surchauffée
Bibliographie: l'incinération des déchets
Consultation: 18 /01/2009
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